COMMENT AVOIR DES RELATIONS CORDIALES ENTRE LES JEUNES ET LA POLICE
Depuis des siècles et des siècles, l’autorité a pris une grande place dans la société. Elle a été mise en place par le gouvernement pour protéger et servir chaque citoyen. De nos jours, nous sommes confrontés à un problème majeur qui est au cœur même de notre société et qui vient toucher directement les citoyens. Aujourd’hui, il est plus que temps de réagir et de régler ce fléau grandissant. Ce problème est une mésentente entre la police et nos jeunes.
Pour traiter ce genre de situation, il existe plusieurs solutions. Premièrement, dans l’extrait suivant, nous aborderons l’aspect social qui est très important.
• Un monde sans racisme
Pour commencer, la société dans laquelle nous vivons a ses forces et ses faiblesses. La preuve est que certains quartiers sont multiculturels. Dans le quartier Saint-Michel, la communauté organise plusieurs festivités multiculturelles pour sensibiliser les citoyens au racisme. Ce projet, appelé Un Monde sans racisme, est réalisé par les citoyens du quartier Saint-Michel
• Médias
Comme nous le savons, les médias parlent souvent du quartier Saint-Michel.
Ils en parlent comme d’une zone isolée du monde, un endroit où résident des délinquants, dont la plupart sont au seuil de la pauvreté. On dit aussi que ce quartier est dangereux et contrôlé par les gangs de rue.
• Les jeunes démentissent les propos des médias
Pour démentir ces propos, les jeunes de Saint-Michel on tourné un
vidéo informatif présentant les côtés forts du quartier. Ce vidéo présente
aussi les activités que les jeunes entreprennent pour occuper leur temps grâce à des services réguliers et des projets spéciaux. Par exemple, la Maison
des jeunes par la Grand’ Porte, permet aux jeunes de se rassembler et de s’amuser ensemble. Les policiers patrouillent les rues régulièrement. Pour les jeunes filles il y a un programme de danse, un club de boxe créé par Joachim Alcin, champion de boxe, et beaucoup d’autres activités effectués dans ce quartier. Ce vidéo a été présenté dans le cadre d’une conférence sur le sujet la prévention des gangs de rue, mardi le 18 novembre 2008 au centre Gelber au 5151, chemin de la côte Saint-Catherine.
• La police adopte une autre approche
Dans cette conférence, Jean-Guy Gagnon, directeur adjoint du SPVM, a émis des statistiques surprenantes sur le taux de criminalité : elle a diminué de beaucoup, car les policiers n’utilisent plus la manière forte dans leurs interventions. hgytgytytuujt,kd6rgfgttt
Les mots sont parfois les meilleurs armes. Ceux-ci permettent aux policiers et aux jeunes d’avoir un meilleur terrain d’entente. Ce genre d’intervention a eu un effet incroyable. Le taux de criminalité a diminué et les citoyens se sentent plus en sécurité et les jeunes font plus confiance aux policers.
• Les jeunes se mettent à la tache
Le SPVM organise beaucoup d’activités de prévention. Ils vont souvent dans écoles primaires pour sensibiliser les jeunes et pour leur apprendre quel est le rôle d’un policier. Cela permet aux policiers d’avoir un lien de confiance avec les jeunes. Dans les écoles primaires, notamment Saint-Noël-Chabanel, le SPVM a organisé une activité dont les jeunes sont les principaux acteurs. Ils sont appelés les médiateurs de la paix. Ils ont pour mission d’aider d’autres jeunes de leur âge qui ont un problème. Par exemple, quand deux élèves se disputent, le médiateur de la paix doit apaiser les tensions entre les deux jeunes en leur parlant calmement. Le tout se fait sous la supervision des profs et ce la se passe durant la pause et l’heure du dîner à l’école. À la fin de l’année, les élèves participants reçoivent une récompense de la part des policiers.
• Rappel à la sensibilisation
Bien qu’il existe des gangs de rue, il est important de se rappeler que ce ne sont pas tous les jeunes qui en font partie. Certains jeunes ont la vie difficile. Il y en a qui viennent de famille pauvre, qui ne mangent pas à leur faim, ou bien qui sont influencés dans la consommation de drogues. Ils deviennent accro, puis ils doivent trouver de l’argent pour payer leur consommation. Tous ces exemples nous démontrent comment un jeune est influencé à faire partie d’un groupe de gangs. En réglant ces problèmes, nous pouvons combattre ce fléau. Rappelons-nous surtout que les jeunes sont l’avenir.